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Yusuff Ayotunde Jamiu 3

Yusuff Ayotunde Jamiu 3

Bonjour, je suis Yussuf Ayotunde Jamiu, un artiste Nigérien multidisciplinaire et passionné des explorations et expressions des expériences humaines au travers d’une variété de médiums artistiques comme la peinture à l’huile, le pastel, l’acrylique, le graphite, etc. Je réside actuellement dans la partie nord de Chypre. Mon parcours artistique a commencé par l’exploration personnelle, dirigée par la créativité et la curiosité d’expérimenter différentes formes et techniques. Faire partie de l’exposition virtuelle DIGI HELICON est une opportunité unique et précieuse pour des artistes comme moi et ceux d’autres domaines de montrer leur travail, de se connecter à un public mondiale, d’assurer la rentabilité et la durabilité, de documenter et d’archiver, mais aussi d’explorer l’intersection de l’art et de la technologie. C’est une opportunité pour l’innovation, la collaboration, mais également un canal interactif pour les artistes et l’accessibilité, ce qui en fait un événement important pour les artistes contemporains.

No Remorse: The Crimson Toll
Année: 2025
Peinture à l’huile et acrylique sur toile
Art abstrait
18 X 24 cm
 
 
L’innocence, un rêve fragile, saigne maintenant,
Une tache cramoisie sur les champs où la joie a jadis fleuri.
Des yeux émerveillés, assombris par un monde qui se nourrit
Du silence, alors que les jeunes rires sont consumés.
Pour quelle transgression, dites-nous, doivent-ils payer,
Ces petites âmes, leur avenir cruellement déchiré ?
Une question silencieuse s’égoutte dans les embruns du chagrin,
Alors que l’espoir lui-même, dans les teintes les plus sombres, est usé.
Aucune larme ne peut laver l’horreur de la terre,
Aucune consolation ne murmure pour les vies détruites.
Seul le chagrin cramoisi, tenu dans une main fatiguée,
Un cri silencieux, pour que le monde entier le sache.
 
Il s’agit d’un témoignage brutal d’un « cœur brisé » et de la « douleur des enfants » non reconnue, d’un monde « embrasé par la dure flamme de la guerre » où, tragiquement, « personne ne s’en soucie, personne ne ressent la honte ».
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